Julie DE WINTER
Je suis actuellement doctorante en archéologie et histoire des mondes anciens et médiévaux depuis octobre 2023, au sein de l’Université Clermont Auvergne. Je prépare une thèse intitulée « L'exploitation minière aux confins méridionaux de la cité des Lémovices de la Protohistoire au Haut Moyen-Âge : nouvelles approches archéologiques et chronologiques en Corrèze. » sous la direction de Frédéric Trément, professeur des Antiquités Nationales à l’Université Clermont Auvergne et la co-direction de Christian Rico professeur d’histoire romaine à l’Université de Toulouse Jean Jaurès.
Ma thèse prolonge mon mémoire de master intitulé « Occupation du sol et exploitation minière aux confins occidentaux de la cité des Arvernes : le cas de la Haute-Combraille (Âge du Fer – Haut Moyen-Âge) », dirigé par Frédéric Trément. Mes recherches se concentrent désormais sur la Corrèze, et non plus sur le Puy-de-Dôme (Combraille), avec pour objectif d'approfondir nos connaissances en archéologie minière dans cette région méconnue du Massif Central.
L'objectif de ces travaux est d'établir une chronologie des vestiges miniers du territoire, ainsi qu'une cartographie précise de l'exploitation minière en Corrèze grâce aux données LiDAR. La réalisation de prospections pédestres, de sondages archéologiques et l'étude du LiDAR permettront d'établir une typologie des différents types de travaux miniers utilisés pour extraire les métaux, et, peut-être même une chrono-typologie des vestiges miniers. L'étude géologique du territoire permettra de comprendre l'organisation des sites miniers, étroitement liée à la géologie locale, notamment la faille d'Argentat, qui a influencé la présence d'exploitations minières à certains endroits. Elle permettra également de comprendre les différents types de travaux mis en place selon le type de gisement, ainsi que l'occupation du sol par les hommes. Les résultats obtenus pourraient fournir des informations précieuses sur l'exploitation minière protohistorique initiée par les Lémovices, complétant ainsi les travaux de Béatrice Cauuet sur les mines d'or de Haute-Vienne et Dordogne. De plus, l'étude de ces mines s'inscrit dans le prolongement du programme MINEDOR mené au sein du CHEC, qui vise à étudier l'exploitation minière en Combraille.
J. De Winter, bilbliographie, activités depuis 2019
Ma thèse prolonge mon mémoire de master intitulé « Occupation du sol et exploitation minière aux confins occidentaux de la cité des Arvernes : le cas de la Haute-Combraille (Âge du Fer – Haut Moyen-Âge) », dirigé par Frédéric Trément. Mes recherches se concentrent désormais sur la Corrèze, et non plus sur le Puy-de-Dôme (Combraille), avec pour objectif d'approfondir nos connaissances en archéologie minière dans cette région méconnue du Massif Central.
L'objectif de ces travaux est d'établir une chronologie des vestiges miniers du territoire, ainsi qu'une cartographie précise de l'exploitation minière en Corrèze grâce aux données LiDAR. La réalisation de prospections pédestres, de sondages archéologiques et l'étude du LiDAR permettront d'établir une typologie des différents types de travaux miniers utilisés pour extraire les métaux, et, peut-être même une chrono-typologie des vestiges miniers. L'étude géologique du territoire permettra de comprendre l'organisation des sites miniers, étroitement liée à la géologie locale, notamment la faille d'Argentat, qui a influencé la présence d'exploitations minières à certains endroits. Elle permettra également de comprendre les différents types de travaux mis en place selon le type de gisement, ainsi que l'occupation du sol par les hommes. Les résultats obtenus pourraient fournir des informations précieuses sur l'exploitation minière protohistorique initiée par les Lémovices, complétant ainsi les travaux de Béatrice Cauuet sur les mines d'or de Haute-Vienne et Dordogne. De plus, l'étude de ces mines s'inscrit dans le prolongement du programme MINEDOR mené au sein du CHEC, qui vise à étudier l'exploitation minière en Combraille.
J. De Winter, bilbliographie, activités depuis 2019